Cinq histoires sucrees-salees de dames (et d’hommes) a croquer

-Viking souhaite, Viking prend «A nous des petites Islandaises» pensent deux publicitaires francais envoyes a Reykjavik Afin de un tournage. Neanmoins, n’est jamais petit qui croyait et n’est pas Viking qui veut. -Sexy Girl Plusieurs dragueurs de terasse se prennent un rateau. L’un d’eux se rabat sur une jeune femme replete, plus docile. Au jeu du chat et de la souris, la victoire se fait en poesie! -Big apple On pardonne bien a sa cherie d’enfance. Ou presque. Dans le cas de Pome et Axelle, la plus grosse des deux n’est pas la plus lourde. -Luigi Milan, 1979. Luigi n’a qu’une option en tete: retrouver Patricia, une francaise bellliiiissssima qu’il rencontra furtivement. Pour i§a , il a une methode infaillible: ecrire a toutes les Patricia! Sandy Rosemary vit seule avec le chat et ne rechigne pas de moment en temps a une partie de jambes en l’air avec Nicholas. Tout va beaucoup, meme si parfois elle a un peu l’impression d’etre un bouche-trou. Mes coeurs boudines, cinq histoires douces-ameres gorgees de pulpe ainsi que vitamines.

Mes Coeurs boudines – Les albums d’une collection

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Des choses plutot bien https://datingmentor.org/fr/passion-com-review/ vues dans une telle BD qui ne se prend pas la tete mais arrive bien de meme a assener certains verites sur l’existence des filles «grosses» et qui seront mises au ban d’une societe avec moult diktats, ceux d’la mode en particulier. Ces cinq histoires sont toutes sur votre ton doux amer, pas revendicatives avec des filles qui au final ne me semblent jamais handicapees par leurs rondeurs. Le trait et Notre colorisation sont agreables et degagent enfin une impression de plenitude a l’image des heroines presentees ici. Une analyse distrayante qui ne va sans doute gui?re au fond des choses mais l’auteur n’a est en mesure de etre gui?re voulu appuyer sur le pathos au risque d’en Realiser trop.

Apres la lecture du tome 1. Je ne lirai nullement des autres tomes. J’ai trouve le trait agreable, graphiquement il n’y a jamais grand chose a reprocher a cette BD. En revanche, des histoires m’ont parues insipides malgre certains notes d’humour bien venues. On ne retient que dalle apres lecture et l’on se demande quel etait le sens de ce projet. Sue nos 5 histoires, seule la premiere m’a plu, les autres m’ayant parues encore et puis fades et sans finalites. Notre lecture est facile mais l’article est insuffisant a mon gout Afin de justifier l’achat.

La lecture de ces 5 recits de filles a toutes les contours un peu genereux ne m’a absolument gui?re convaincu. Ca devait permettre une meilleure comprehension de votre qu’on peut ressentir si l’on n’est gui?re dans la norme physique de ce que la societe exige a travers ses publicites comme. Juger le physique de la personne et en tirer des conclusions reste malheureusement votre sentiment bien repandu de nos jours. Cette Bd avait un formidable potentiel en terme d’idees. Mais les trames ne semblent guere interessantes. Cela manque beaucoup de sel ou du piment (au choix) meme si cela se laisse lire agreablement. Malheureusement, les tomes qui suivent n’echappent pas a votre constat.

Krassinsky se penche ici avec tendresse, et un certain humour, sur le destin de quelques jeunes filles disons « enveloppees » ; lesquelles ont quand meme pu surmonter ce(s) complexe(s). Il va i?tre vrai que les « petites enormes », meme si elles paraissent gentilles, sont souvent delaissees par les « males ». L’auteur s’est inspire –vraisemblablement- d’observations en life quotidienne… ou de souvenirs vecus ?… Cela propose ainsi des histoires de nanas qui en ont marre de leur condition et paraissent bien decidees a ne plus subir le regard, ou des moqueries, des autres. Et la facon dont elles retournent les situations a un avantage en fait une serie assez seduisante, originale, et non denuee d’un certain charme…

Alors que le premier tome etait veritablement original et depeignait des femmes grandes, a Notre fois physiquement et psychologiquement, dont le caractere sortait renforce d’annees de moqueries et d’humiliations et leur permettait de remettre a leur place hommes vaniteux et fausses amies, le deuxieme tome a totalement lache ce filon et se contente de raconter des histoires banales, avec des femmes qui auraient bien aussi bien pu etre minces. Bien qu’amusants, les differents episodes seront Pluti?t quelconques car ils n’ont plus rien a voir avec ce qui faisait l’interet d’la serie.

Cela reste toujours Complique de faire un album intelligent i  propos des petits ou gros defauts de l’ensemble de ses contemporains. Ici c’est une BD i  propos des filles avec des rondeurs. «Dans des coeurs etriques battent des coeurs boudines», dit le poete. C’est souvent bon, mais votre pourrait i?tre beaucoup de un rendre un brin plus justice. Car Krassinsky, aussi si son intention de commencement est louable, rate quand meme le objectif, ainsi, d’assez loin. Ses «Les coeurs boudines» paraissent certes plus intelligents, moins naifs qu’on aurait pu le croire, mais ces filles manquent quand meme vraiment de caractere. Enfin, j’ai envie dire par la qu’elles ne vont souvent pas fort loin dans leur demarche de vengeance. Seules des deux dernieres histoires qu’en compte le premier tome trouvent vraiment grace a faire mes yeux. Les trois autres n’ont souleve pas de coin ma bouche, rien qu’une question : pourquoi faire des histoires aussi plates sur des filles qui ne le paraissent jamais ? Le tome 2 n’est nullement fameux non plus. Reste le graphisme de Krassinsky, qui ne se demarque pas vraiment d’une production franco-belge actuelle, mais qui n’est tout ainsi pas desagreable a l’oeil, bien qu’un minimum anguleux a mon gout.

Mmm. impression bizarre apres lecture de votre album. J’ai passe un delicieux moment, je l’ai trouve amusant, mais je pense que je l’oublierai tres vite. D’ailleurs. bah, j’apprecie la demarche de l’auteur d’avoir voulu faire des heroines des petites enormes, ca change des jolies meufs au corps fantasme qu’on voit d’habitude au sein des BDs, mais elles n’echappent enfin jamais aux cliches. Dans toutes ces histoires, elles seront «bonnes» au lit, ont une sexualite decomplexee, mais l’amour leur parai®t interdit (sauf d’la part des idiots) et elles sont rejetees de tous et mal dans leur peau. En voulant briser des stereotypes, l’auteur retombe au sein d’ un nouvelle. Dommage, il y avait tant a penser dans la question. Faut dire que le format «histoires courtes» ne va permettre aucune nombre developper les personnages. Notre dessin est honnete mais je n’accroche nullement plus que ca.

Ces petites histoires ne manquent nullement de derision, sont saupoudrees d’erotisme et ont l’ensemble de une pointe d’originalite. Les histoires s’achevent sur une morale souvent gentillette et font la part belle aux filles. Mes dessins ne semblent nullement extraordinaires mais agreables, a noter que les filles paraissent girondes, donc representees avec de tendres rondeurs. «Les Coeurs boudines» n’est nullement un chef-d’oeuvre, mais Une analyse fraiche et distrayante ce qui est deja nombre. Un delicieux petit 4/5, a lire !

Cinq histoires sucrees-salees de dames (et d’hommes) a croquer