Lecture Analytique « de la charogne », Charles Baudelaire Rappel et astuces : – Lecture cursives Plusieurs pieces condamnes et vos poemes qui precedent « Une charogne », « J’ai beaute », « ces dames ».

– Citation pour retenir : « Le outrage a sa moral publique et a toutes les bonnes m?urs » – critique faite a Baudelaire i  propos des fleurs de la peine, plus precisement des pieces condamnes. – Ambivalence une cherie concernant Baudelaire: – beaute naturelle et artificielle – innocence et perversite – Qui provoquent chez Mon poete d’une fascination ainsi que la peur. – Mon poete se sacrifie Afin de votre beaute. – Carpe diem : vie de l’homme limitee par la fond –> « Vivre comme lorsqu’il n’y aurait Manque de ce lendemain. » Symbolise par ma rose : Notre fragilite en vie. – Memento Mori : chacune des savoirs et Un materiel se perdent. « Souviens-toi que tu vas mourir. » Seul conte votre virtuosite une life. Lectures complementaires : – « A Cassandre » et « Quand vous serez Correctement vielle » de Pierre de Ronsard.

Introduction

Baudelaire, auteur de leurs Fleurs de la peine, condamne en 1857 Afin de « outrage pour sa morale publique » avait Par exemple Le objectif novateur : atteindre J’ai beaute poetique meme a l’aide du mal comme suggere le titre. De cette fai§on l’est-il dans le poeme « Une charogne », poeme en section « Spleen et parfait ». Le poeme se situe apres de collection de pieces au sein d’ lesquelles c’est essentiellement question de la cousine _on va supposer que celui-ci s’agit pour Caro Duval, baptisee par Baudelaire comme la Venus noire_ et Notre beaute qui exerce sa propre fascination et repulsion su le poete. Comment Baudelaire renouvelle le topos du memento mori de reussissant grace a son art a extraire la fleur en laid ? Plan : I. 1 poeme Avec l’amour II. Ma description de la charogne III. Un triomphe d’une poesie

XXIX – De Charogne

Rappelez-vous l’objet que nous vimes, mon ame, Le beau matin d’ete si doux : du detour tout d’un sentier une charogne infame Sur un lit seme de cailloux, tous les jambes en l’air, tel de la soeur lubrique site furfling, Brulante et suant leurs poisons, Ouvrait d’une facon nonchalante et cynique Son bide enormement d’exhalaisons. Un soleil rayonnait via votre pourriture, Comme pour Notre cuire pour point, ainsi, pour rendre du centuple pour J’ai grande nature Tout ce qu’ensemble celle-ci avait joint ; Et Mon ciel regardait la carcasse superbe tel 1 fleur s’epanouir. La puanteur est lorsque forte, que dans l’herbe nous crutes vous evanouir. Nos mouches bourdonnaient concernant votre ventre putride, D’ou sortaient de noirs bataillons de larves, , lequel coulaient comme mon epais liquide Votre long des vivants haillons. Tout Ca descendait, montait comme 1 vague Ou s’elancait du petillant On eut evoque que le corps, enfle tout d’un souffle vague, Vivait en se multipliant. Cela monde rendait de etrange musique, tel l’eau courante et le vent, Ou Ce grain qu’un vanneur d’un mouvement rythmique Agite et marche au sein d’ le . Nos declinaisons s’effacaient et n’etaient plus qu’un reve, 1 ebauche lente pour venir dans la toile oubliee, ainsi, que l’artiste acheve juste avec le souvenir. Derriere nos rochers une chienne inquiete Nous regardait d’un ?il fache, Epiant l’instant de reprendre au squelette Un morceau qu’elle avait lache. – Et pourtant vous serez semblable pour votre ordure, A votre horrible infection, Etoile de faire mes yeux, soleil ma nature, Vous, mon ange et la passion ! Oui ! telle vous serez, o Notre reine Plusieurs graces, Apres vos derniers sacrements, des que vous irez, thunes l’herbe et les floraisons grasses, Moisir parmi vos ossements. Alors, o la beaute ! dites a ma vermine Qui nous mangera de baisers, Que y’a garde J’ai forme et l’essence divine pour les amours decomposes ! Les Fleurs du mal, Charles Baudelaire

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Developpement

I. Votre poeme Avec l’amour avec ses mon homme et 1 copine

  1. A) mon couple

Vous (v.16, 40, 41, 43, 46) Nous (v.1) fera echo a la femme aimee ; eclairage immediat d’la cherie et le couple –> pronom inclusif => Presence en « nous » que scande Votre poeme de ce debut pour la fin. Presence de la copine semble envahir Un poeme. Confirmation : Lexique melioratif designant l’actrice et suggere l’exaltation lyrique quelques sentiments d’un poete. v.1 « le ame » –> Groupe nominal foutu en valeur etant donne qu’il se deniche pour la fin d’un par v.39/40 « Etoile pour faire mes jambes, // soleil ma nature » –> Champ lexical classique *2 metaphores Plusieurs astres concernant designer la beaute en cousine *Cesure a l’hemistiche marque via la virgule « nous mon ange et la passion » –> amplification des 2 metaphores avec l’utilisation en pronom tonique « vous » en debut de par , lequel designe ce thi?me (ellipse de ce verbe) des metaphores. Confirmation d’une cherie. –> Utilisation de 2 adjectifs possessifs , lequel insiste dans Notre relation homme soeur. –> Dierese via le commentaire « passion » euphorique –> « Ange » fera echo pour « ame » utilise au 1er en direction de.

Donc, confirmation que celui-ci s’agira de l’evocation d’une relation amoureuse. L’actrice reste traditionnellement louee via sa propre beaute et l’amour qu’elle inspire (cour de francais).

  1. B) Ce souvenir

o Cadre spatial : – champ lexical de la nature – v.2 « votre beau matin d’ete quand doux » –> Complement circonstanciel pour temps enfile en valeur etant donne que vraiment Le seul octosyllabe. Connotation positive un procede la periode i  propos de le plus de beaute – 2 qualificatifs melioratifs encadrent le nom « matin », « excellent » + superlatif a valeur hyperbolique « si doux » Conclusion : On imagine une excellente nature, chaude et lumineuse MAIS leurs autres points le vraiment soupi§on decrits. ! Un poete ne se livre jamais a 1 description en nature. o Cadre temporel : – « 1 matin » –> complement circonstanciel de temps – moment utilises : Passe simple et imparfait en v.1 du v.36 – temps libre en recit ; Apres, rupture Gri?ce i  Ce tiret baudelairien et Ce changement de temps : futur. – visionner « n’oubliez pas » –> essentiel present –> lui fait l’ordre de revenir de arriere = analepse. => Recit d’un souvenir de la promenade dans la nature, lors pour laquelle ils rencontrent une charogne. Transition : Tradition des poemes amoureux : Le couple se promene dans 1 nature sereine et l’actrice reste l’objet de la idealisation. 2 passes simples : « vimes » et « crutes » a recit en souvenir est essentiellement 1 description d’une charogne qui est loin d’etre votre objet poetique. Ne decrit ni Notre nature ni la femme, Cela decoit nos esperances traditionnelles d’un lecteur. Remplacement de l’objet poetique en excellent aupres du laid.

Lecture Analytique « de la charogne », Charles Baudelaire Rappel et astuces : – Lecture cursives Plusieurs pieces condamnes et vos poemes qui precedent « Une charogne », « J’ai beaute », « ces dames ».